A force de nous abreuver de gaz à effet de serre, on en arriverait presque à nous faire oublier notre bonne vieille pollution atmosphérique automobile, presque incolore et inodore, mais constituée de composants 100 % nocifs et qui nous empoisonne irrémédiablement, quotidiennement.
Voici les résultats (timides ou partiels ?) d’une étude, publiée en entrefilets par le journal Métro le 04 mai 2007 :